Age : 26 ans
Taille : 193 cm
Poids : 90 kg
Diplômes : Licence en Gestion Métier
Métier : Je suis actuellement Développeur de projet, notamment pour une marque de vêtement et des structures de Padel. En parallèle, je travaille dans un cabinet de recrutement en banque privée.
Tu t’es présenté à Mister France dans quel but ?
Je me suis lancé dans cette aventure avant tout pour le challenge et pour sortir de ma zone de confort. Réussir pour moi, ce n’est pas uniquement la victoire, mais le fait de pouvoir me dire : "Je l’ai fait, j’ai tout donné et j’ai adoré l'expérience." Ce que j'apprécie par-dessus tout dans cette compétition, ce sont les rencontres humaines, les opportunités de voyage et les découvertes. Jusqu’à présent, que ce soit avec les autres candidats, le staff ou les partenaires, j’ai fait de magnifiques rencontres, et j’ai hâte de continuer sur cette lancée.
Quelles sont selon toi les qualités requises pour être un bon Mister?
Pour être un bon Mister, il faut avoir un ensemble harmonieux de qualités. Cela ne se résume pas à un physique, comme beaucoup peuvent le penser. C’est une grosse responsabilité qui demande de cocher plusieurs cases : l'état d’esprit, l'humilité, le charisme, l'éloquence et la discipline. Un Mister doit avoir les épaules pour porter un message fort et une cause tout au long de l'année. Un physique seul ne pourrait pas bien véhiculer ces valeurs.
Le sport est mon ADN. J’ai été joueur de tennis professionnel. De mes 5 ans à mes 23 ans, j’ai adapté toute ma vie, mes études et ma vie personnelle au tennis. J’ai atteint le 60e rang mondial chez les juniors et le 700e chez les professionnels. C'est une expérience incroyable qui m’a inculqué la discipline, une valeur de résilience et le goût du voyage. Aujourd'hui, j'ai conservé cette rigueur en m’entraînant six jours sur sept, car c’est une habitude qui fait partie intégrante de mon équilibre.
Suis-tu une diète stricte ?
Je ne suis pas une "diète stricte" au sens où je calculerais tout au millimètre. J'ai des objectifs de performance, donc je suis attentif à mes quantités de protéines et de calories, mais cela reste un suivi rapide et non pointilleux. Je m’assure de manger sainement et de façon variée, car l'équilibre est essentiel. Je préfère parler de bonne hygiène de vie que de restriction.
Es-tu sensible à la mode ?
Après avoir passé près de vingt ans de ma vie en short et T-shirt sur les courts de tennis, j'apprécie de plus en plus le fait de m'habiller et de jouer avec les styles. J'aime le côté corporate des tenues de semaine pour mon travail, et des looks plus modernes et fashion le week-end. C’est une façon de s’exprimer et d’affirmer son identité.
Quels sont selon toi tes points forts et faibles (au physique comme au mental) ?
Points Forts : Physique : Je dirais ma bonne prestance naturelle, grâce à ma taille et à la posture que j’ai pu développer avec toutes ces années de sport. Mental : Ma résilience et ma rigueur. Le tennis est un sport où l'on perd presque toutes les semaines, et il faut se relever immédiatement pour repartir au combat. Cela demande une force mentale et une détermination hors norme, que j’utilise aujourd’hui dans tous mes projets.
Points Faibles : Physique : Tout peut toujours être amélioré ! Je cherche notamment à développer davantage de masse musculaire. Mental : Je suis parfois trop perfectionniste, ce qui m'empêche de célébrer les petites victoires du quotidien. Je travaille à mieux apprécier les étapes pour avancer plus sereinement.
As-tu des modèles de beauté masculine qui t’inspirent ?
Je suis davantage inspiré par des hommes qui incarnent une élégance intemporelle et qui réussissent grâce à leur trajectoire et leurs valeurs. Des personnalités comme George Clooney ou Pierre Niney m’inspirent par leur charisme, leur professionnalisme et leur capacité à rester eux-mêmes tout en évoluant.
Suis-tu des influencers ? si oui, lesquels ?
Je ne suis pas de "modèle" d’influenceur unique. J'aime m’informer et faire des recherches par moi-même, que ce soit sur le plan sportif ou sur le lifestyle global. Je reste ouvert à toutes les sources d'information pertinentes et j'aime piocher l'inspiration à droite à gauche, sans m’arrêter à une seule personne.
Quelles sont tes passions ?
Ma première passion est bien sûr le sport – le tennis, mais plus largement le dépassement de soi et l'effort physique. Je trouve que c'est essentiel pour l'aspect social et le bien-être mental, qui est d’ailleurs ma cause. Je suis aussi passionné par l'entrepreneuriat, développer des projets, répondre à une demande pour satisfaire les gens et les rendre heureux. C’est la raison d’être de mon métier de développeur de projet.
Quelles sont tes valeurs ?
Mes valeurs fondamentales sont l'humilité, la persévérance et le respect d'autrui.
Quelle est ta définition d'un homme viril ?
Pour moi, un homme viril n'est pas celui qui fait preuve de force physique, mais celui qui assume ses responsabilités et fait preuve d'empathie. C'est un homme qui a la confiance de défendre ses convictions et de prendre soin des autres. C'est surtout une question d'intégrité et de force de caractère.
Quelle cause défends-tu ?
Je défends la cause de la santé mentale, avec un attrait plus particulier pour celle des sportifs de haut niveau. Je suis passé par là et je trouve que ce sujet n’est pas pris assez au sérieux. On associe trop facilement les problèmes de santé à la dimension physique, alors que la psychologie est très souvent directement liée. Nous sous-estimons grandement l’importance du mental dans la réussite et le bien-être général.
Parle- nous des business que tu es en train de développer
J’ai deux projets concrets en cours : je développe une marque de vêtement de sport et des structures de loisirs intérieurs (Padel, Foot Indoor). Ces activités me permettent de garder un pied dans ma passion pour le sport et l’entrepreneuriat, tout en utilisant mes compétences professionnelles, notamment celles acquises dans le secteur de la finance et du développement de projet.
Quels sont les concurrents qui te semblent les plus dans la course ?
Il est très difficile pour moi de désigner des noms, car je n'ai rencontré que très peu de candidats jusqu'à présent. Juger sur la base des réseaux sociaux est réducteur, car pour être dans la course, il y a de nombreuses cases à cocher, au-delà de l'image. J’en saurai sûrement davantage pendant la semaine de préparation. Ce que je peux vous dire, c’est que ceux que j’ai rencontrés sont des gars supers, et j’ai hâte de vivre la suite de l’aventure à leurs côtés. Mon objectif principal reste de me dépasser et de représenter au mieux ma région.
Photographies de Dylan ( @df.vision ) communiquées par Maxime.
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